La puissance de l’illusion

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Notre perception de la réalité repose sur des principes duels (bien/ mal, froid /chaud, agréable/ désagréable, etc.) C’est ainsi que notre esprit, nos sens, perçoivent les choses, nous maintenant perpétuellement dans un conflit intérieur entre ce que nous pensons être, et ce que nous voulons ou devrions être.
C’est ainsi que fonctionne l’illusion dans laquelle nous sommes plongés.

Ma vision de la réalité est différente et j’observe qu’elle rejoint la vision de certaines philosophies ou courants de pensée. Pour moi tout est un, et il n’existe qu’un seul esprit, LE GRAND ESPRIT comme disent les Amérindiens.

Cet esprit endosse différents costumes/rôles, différents corps de plus en plus lourds et épais, vibratoirement parlant, un peu comme si nous revêtions plusieurs costumes pour aller à un bal masqué, et qu’une fois sur place nous jouions à fond notre rôle, comme des enfants jouant à d’Artagnan ou au gendarme et au voleur. Une fois le costume usé par notre utilisation, nous l’enlevons et retrouvons celui en dessous, plus subtil.

Il est étonnant de constater,  comment le fait de revêtir un simple masque ou une perruque peut altérer notre personnalité, comme si un personnage enfoui au fond de nous remontait à la surface et prenait les rênes du jeu, je pense que chacun de nous a déjà vécu cette expérience.

Et bien imaginez la même chose puissance 10, imaginez que nos corps soit des programmes, des costumes, nous poussant à jouer des rôles à la perfection, nous faisant même oubliés que ce sont des rôles. Ce n’est pas si étrange que ça, nos asiles comportent de nombreux cas de personnes qui pensent réellement être napoléon ou un personnage important, (on peut voir la puissance de notre mental quand celui-ci cherche à survivre), sans compter tous les cas de trouble de la personnalité multiple (TDI).
Eh bien sans nous prendre pour napoléon,  il en est de même pour nous, l’esprit fait la même chose  graduellement, avec ses différents corps, nous en avons six, le dernier et le plus dense est notre corps physique.

l’identification totale à l’ensemble des trois derniers corps( physique, énergétique, mental), permet à l’esprit de jouer ses différents rôles à la perfection, endossant des costumes de sauveur, victimes ou bourreau.

Le fait que le miroir de la vie nous renvoie l’image de notre costume, n’arrange pas les choses, étant tous pris dans ce jeu inconscient, il nous est difficile d’en sortir,  mais il suffit que dans la salle de bal quelqu’un enlève son costume pour que d’autres puissent percevoir que l’on continue à exister sans.

Le seul fait pour l’esprit d’endosser un corps/costume, de s’identifier à un rôle provoque une blessure liée à la séparation entre son unité et la partie de lui endossant le costume.

Cette blessure qui va prendre différente formes, comme le sentiment d’abandon, de rejet, d’envahissement, de trahison, ou d’humiliation va être à l’origine de chacun de nos rôles si bien décrit dans l’ennéagramme. Nous allons créer de toutes pièces un personnage que nous appelons NOUS, qui va reposer sur l’incarnation ou l’évitement de cette blessure, d’une manier grossières ou subtiles.

C’est ainsi que prisonnier/identifié à notre rôle nous allons passer notre temps, notre vie à entretenir notre programme/personnage du fait que nous pensons /ressentons n’être que lui et courir après une promesse de bonheur lointain.

Pour exemple, la blessure d’abandon va m’obliger à créer un personnage sympathique et généreux afin de générer un maximum de relations axé sur la dépendance et la passion, ceci dans le but d’éviter de revivre à nouveau cette blessure. Plus grande sera ma peur, plus la pression et l’exigence que je vais avoir sur les autres et moi-même sera importante, mécanisme qui va entrainer tôt ou tard un rejet et me faire revivre fatalement ma plus grande peur.

Suite ici : https://www.enneagrame.com/publications

Ce cercle vicieux continuera, jusqu’à ce que je comprenne à travers un travail d’écoute profonde que ma blessure n’est que l’expression nécessaire à l’esprit pour créer un personnage afin de jouer ce rôle. Une fois ceci réalisé je peux enfin profiter pleinement de mon personnage créé en me rappelant que celui-ci n’est qu’un rôle dans le jeu de la vie. La détente profonde qui s’ensuit, m’ouvre à l’amour véritable qui est la nature profonde de l’esprit, je me sens unifié dans la division, et je ne perçois autour de moi que les différents rôles de l’unité qu’exprime toute la création.

Christophe itier

 

 

 

 

À tous ceux qui ont peur que leurs femmes ou leurs hommes les trompent

Différencier l’amour de la possession et des besoins; Texte à méditer

(Avis:le mot partenaire dans le texte désigne autant une femme qu’un homme)

Quand on se met avec une personne et que l’on forme un couple, ce n’est pas uniquement parce que ce partenaire vous fait bien l’amour, cela n’est pas suffisant et ne fonctionne pas.
On se met avec une personne pour de multiples facteurs, le sexe bien sur mais surtout son caractère, ce qu’il est, parce que vous vous sentez bien avec lui, vous l’aimer, vous aimez ce qu’il est,

Les personnes qui resteraient avec vous soient pour bénéficier de votre argent, votre prestige, votre protection, votre générosité, soit pour vos talents sexuels ne vous aiment pas vous, mais une petite partie de vous où quelque chose que vous avez, ce qui n’est pas satisfaisant et ne peut vous rendre heureux. Donc vous ne resterez pas longtemps avec.

La personne qui se met en couple avec vous, le fait pour un ensemble de chose, qui vous représente, elle aime cette alchimie spéciale qui est VOUS, et cela vous rend heureux d’être aimé pour VOUS.
Donc si un des partenaires à vraiment besoin de temps en temps de coucher avec d’autres personnes pour être épanouie, il ne renie en rien l’autre partenaire, si il continue de l’aimer de la même manière, et est honnête avec l’autre, c’est son besoin personnel, nécessaire à son équilibre.
Si cela arrive, l’autre partenaire peut, dans l’absolu, être heureux que son amour s’éclate ailleurs et peut même y participer, s’il le désire.

Si cela le blesse profondément, cela veut dire qu’il aime avant tout le corps de son partenaire et ne veut pas le partager ou risquer de le perdre, qu’il ne soit pas disponible pour lui, ou que quelqu’un ait utilisé ce corps qu’il ne considère qu’a lui.
Il peut aussi aimer plus son image que la personne et avoir peur que cette image envers la société dans laquelle il vit soit ternie.
On est plus ici sur un désir de possession et d’orgueil que dans l’amour véritable qui laisse l’autre libre d’être qui il est.
Il y a donc besoin avant de s’engager de se positionner sur cette question, à savoir : quel type d’amour est ce que je veux vivre?

Par contre, quel intérêt aurait une personne à avoir des aventures extra conjugales avec un autre partenaire. ? Ennuie, découverte de nouveautés ou d’expérience fortes, addiction au sexe. ?
Certaines raisons montrent que le couple a perdue de sa passion de sa créativité, qu’il s’essouffle et doit se remettre en question. D’autres raisons, montrent un besoin de changer d’air quelques instants, de prendre des vacances pour retrouver l’autre renouvelé, se rendre compte à quel point notre partenaire est le bon choix.
Où se rendre compte d’un besoin excessif de séduire d’une addiction au sexe et dans ce cas-là, entamer un travail sur soi.

Rappelons qu’il est rare, mais à part dans la séduction, qu’une rencontre sexuelle, notamment les premières fois, nous apporte autant de plaisirs qu’un échange avec notre partenaire qui nous connaît par cœur, donc si on fait cela c’est que l’on a une raison sérieuse

Nous pouvons vivre la majorité de nos fantasmes avec notre partenaire, s’ils n’entrainent pas de violence ou de sévices, pourquoi celui-ci refuserait, au contraire, il seraient heureux de découvrir une nouvelle facette de nous.
Seulement voilà, beaucoup n’osent pas vivre leurs fantasmes avec leur partenaire, car ils en ont honte et donc préfèrent le faire ailleurs.

Si l’amour est véritable dans le couple, il est bon que vous puissiez exprimer vos besoins, quels qu’ils soient, sans honte, c’est ce que vous êtes en ce moment.( le cacher ou le réprimer ne changera rien à la réalité). Une fois expérimenté vous passerez sans doute à autre chose.
Peut-être certains pourront-ils se vivre avec votre partenaire, d’autres ailleurs, ou en solitaire. d autres encore peuvent choisir d’y renoncer en conscience, par amour.
Cette transparence totale n’est pas aisée, c’est un exploit à réaliser mais cela vaut le coup de la tenter, afin de vivre son couple en totale harmonie.

Certains qui savent être trompés ont peur que leur partenaire pense à l’autre amant/maitresse au moment où ils s’accouplent. C’est possible et alors, même si c’était le cas, c’est tout de même avec vous qu’il fait l’amour physiquement pas avec l’autre, pourquoi vous choisit-il en ce moment? soit parce qu’il vous aime vraiment, soit pour une des raisons citées plus haut, pour un intérêt secondaire et dans ce cas-là, vous n’avez rien à perdre puisque vous ne pouvez perdre ce que vous n’avez pas.

Quand on a peur de voir la vérité en face, on s’invente des histoires, puis on a peur de voir qu’on se raconte des histoires… Tout ça pour retarder l’inévitable réalité et retarder la souffrance qui va avec, « non ce n’est pas moi qu’il aime réellement ! » où » il m’aime autrement que je le voudrais! »

Pour résumer il me paraît évident que la peur que notre partenaire nous trompe n’a rien à voir avec l’amour, et n’est pas grave en soi. S’il s’agit de possession ou d’orgueil, hé bien, il serait temps de travailler sur votre manque d’estime de soi et de l’autre.
Si vous aimez vraiment l’autre, vous respecterez ses besoins et les vôtres, et trouverez un terrain d’entente, tant que vous vous éclatez ensemble, il n’y a pas de raison de chercher la petite bête:

Christophe ITIER
annexe du livre:Le jeu inconscient des relations amoureuses

La blessure d’amour

La blessure d’amour nous pousse à rechercher constamment la reconnaissance de l’autre, la demande de fusion, avec l’autre, ou avec Dieu. Le besoin de plaire, d’être sympathique, parfait, serviable n’est qu’une demande plus ou moins déguisée d’être reconnu aimé, accepté.

Autocentré, les mendiants de l’amour ont des centaines de stratégies subtiles issues d’une profonde plainte, d’un mal de vivre. Leurs obsessions les empêchent de voir leur réel potentiel et leur grande capacité à apporter aux autres. Dépressifs, tristes, concentrés sur leurs souffrances, ils ne répondent qu’à une promesse d’intensité, ou d’aventure, vivre sans cette intensité leur est insupportable, leur rappelant leur vide intérieur, leur manque affectif.

Cette capacité à capté l’intensité du présent leur donne par contre de l’empathie, ainsi que la capacité à lire avec précision les personnes qu’elle côtoie, de les écouter réellement, mais cette écoute est empreinte d’un désir d’être reconnue, comme si l’écoutant disait à l’autre: » Regarde comme je t’écoute bien, me reconnais-tu à travers cette écoute, sens tu mon importance? »
Sa quête vers Dieu est là encore une plainte, ou est tu seigneur, pourquoi m’a tu abandonné, reviens je t’en prie? je n’arrive pas à vivre dans ce monde trop dur, sans amour véritable, j’ai peur, protège-moi.

Si cette plainte ne reçoit pas de réponse, alors la déprime s’installe, on tombe malade, espérant encore que cette nouvelle stratégie plus intense et radicale fera réagir l’être/ la divinité désirée.
Ce que ce type de personne ne perçoit pas, enfermé dans sa blessure, c’est que cette position de plaintif appelle un sauveur et sous-entend son incapacité à se sauver où s’aimer lui-même, c’est cette information qui est envoyée à l’univers par la loi d’attraction et c’est cette information qui lui est renvoyée.

L’AMOUR ATTIRE L’AMOUR. LE NON AMOUR ATTIRE LE NON AMOUR.
Voir tous ces mécanismes de plainte, de manipulation, de survie émotionnelle mise en place depuis l’enfance peut nous provoquer une saine colère. » C’en est asses, asses de me conduire en esclave, de manipuler pour obtenir des miettes de reconnaissance, c’en est asses de me conduire en mendiant. j’arrête ce jeu et décide enfin de devenir maitre de mon destin et d’accepter de m’aimer moi-même tel que je suis ».
Cela fait, je retrouve ma dignité, fais le deuil de ce manque d’amour et décide de m’aimer, d’être celui qui aime. ET CELA MARCHE.

En renonçant à l’amour, l’amour apparaît, un amour puissant plein d’énergie, actif. le monde apparaît alors comme une occasion de partager cet amour, de l’incarner, d’être fier de soi.
Signer son œuvre, n’est plus alors un désir de reconnaissance caché, mais une affirmation de son existence, la joie de partager aux autres ses découvertes, une invitation à faire de même et à crier son nom au monde, en tant qu’être humain/divin, digne d’exister.
Christophe ITIER

Qui suis-je ?
Nous ne sommes pas un, nous sommes multiples
En moi vit le dominateur qui aime avoir du pouvoir sur les autres, de l’influence, se sentir supérieur et en jouir
En moi vit l’enfant en manque d’amour, qui a peur des autres, de ce monde hypocrite
En moi vit l’homme sérieux, le guerrier qui veut sauver le monde
En moi vit l’épicurien, qui ne veut pas endosser de responsabilité, qui veut faire ce qu’il veut
En moi vit le conservateur qui voudrait arrêter le temps
En moi vie le créatif qui aime trouver des idées, des réponses aux questions, qui aime se sentir intelligent, connecté.
En moi vit le blasé qui s’ennuie à entendre et répéter toujours les mêmes choses
En moi vit le saint qui aime sans raison, et qui s’extasie de la beauté de la création,
En moi vit l’homme en colère qui voudrait tuer tous les cons et salauds de la terre
En moi vit l’homme libre, qui accueille les personnes sans les juger et qui comprend la raison de toute chose
En moi vit l’homme effrayé qui a peur d’avoir mal
En moi vit l’homme confiant dans l’abondance de la vie

Tous ces personnages sont le fruit des deux polarités de la vie, l’ordre et le chaos, la lumière et l’ombre

Il y a ceux qui sont portés par la lumière
Il y a ceux qui sont portés par l’ombre
Il y a ceux qui ont peur de la lumière
Il y a ceux qui ont peur de l’ombre
Et puis il y a ceux qui volent au-delà de ce jeu et qui jouent avec lui

Qui je suis dans tout cela, ou plutôt qu’est ce que j’incarne ?

Dans chacune de mes pensées, désirs, actions, j’incarne une des 5 options.
Dans cette vie on dira que je suis le personnage que je montre le plus, que je choisis d’être, mais en vérité je sais que je suis la vie, simplement et merveilleusement la vie

Le cycle de l’illusion

Le contact engendre la sensation
La sensation engendre le ressenti
La ressentie engendre la conscience
La conscience engendre la pensée
La pensée engendre la mémoire
La mémoire engendre le temps
Le temps engendre l’espace
L’espace permet le contact

Comprendra qui pourra

Christophe ITIER

Réflexion sur l’ego

Nombre de personnes ont un problème de reconnaissance, un besoin de se sentir exister en tant qu’entité d ego, ce qui pourrait se traduire par la question : est-ce que j’existe vraiment ?

Mais beaucoup ont côtoyé toute leur vie une philosophie de pensée ou l’ego était mal vue, associé à quelque chose dont il faut se débarrasser. Cela se traduit par des affirmations comme : « il ne faut pas montrer son ego, l ego c est mal, ou encore, ce n’est pas moi qui fais, c’est Dieu qui agit à travers moi, tout est la volonté de Dieu etc. etc. » (j’emploie ici volontairement le mot dieu à la place de « la source » ou « de la conscience cosmique » ou « du champs de conscience unitaire », termes qui seraient plus juste mais moins connue),

Je pense à présent qu’en faisant cela, sans nous en rendre compte, nous nions notre divinité. Le fait que dieux c’est nous, et que l ego c’est aussi Dieu puisque tout est lui, en reniant notre ego nous créons une dualité entre Dieu et nous.

Pour moi, l’ego c’est Dieu identifié dans le temps et l’espace, sous une forme déterminé.

En reniant notre ego, nous nous des identifions du vivant
L’ego = mouvement = vie.
L’ego c’est Dieu en mouvement incarné dans la vie

La violence et les émotions négatives liés à l’ego, vient du fait que l’on est déconnecté de cette connaissance et que l’on ne nous reconnait pas en tant que dieu individualisé dans l’expérience. Cela crée une scission en nous, une dualité, il y a dieux (le sacré) et sa création (le profane).
En réalité tout est dieu sous différentes formes

Le mal c’est la croyance que nous sommes séparés de lui et les conséquences qui en découlent

Quand nous assumons notre divinité égotique en nous, nous reconnaissons notre existence et celle des autres, a partir de la, nous mettons fin aux revendications envers les autres, et nous nous acceptons tel que l on est sans rien renier.

Je décide donc de me reconnaitre enfin comme une expression unique de dieu et j’accepte de couper le lien à cet autre moi qui a créer la croyance que je ne pouvais pas exister en étant moi même.

La tragédie des anges
Des anges regardent la terre, regardent leurs frères perdus, ceux qui sont descendu il y a longtemps explorer le monde créé.
Pour descendre ils ont dû revêtir une combinaison de chair, une combinaison adaptée au monde créé. en faisant cela ils ont oublié qui ils étaient, dans ce monde ils ont perdu la mémoire.
Les anges sont des enfants, ils fonctionnent sur l’unité, l’amour, la sensibilité, une fois enfermés dans leur combinaison, identifiés à elle, ils ont ressenti pour la première fois des sentiments qu’ils ne connaissaient pas, ils se sont senti mortel, faible, séparés, seul, coupés les uns des autres, et ce ressenti dans le temps les a rendu fou.
Pour se sentir en sécurité à nouveau ils ont sophistiqués la combinaison, pour la rendre plus puissantes plus fortes, pour que personne ne puisse la détruire, certains ont tués pour ça, détruit, torturés, humiliés leurs frères, descendants encore plus bas dans la folie, d’autres ont réussi à rester connectés un minimum à leurs essences.
Régulièrement, d’autres anges descendent pour tenter d’arrêter le massacre, mais d’en haut, ils ne se rendent pas compte du pouvoir qu’exerce cette combinaison sur eux. Innocents plein d’enthousiasme, ils se jettent au secours de leurs pareils, mais une fois arrivé les voilà pris au piège à leur tour, et dans ce monde de folie leur sensibilité extrême est mise à rude épreuve.
Alors eux aussi face à la souffrance, se fabriquent une armure autour de leur combinaison pour ne plus ressentir autant. L’armure est mentale la plupart du temps, elle est faite de programmes de fuites ou de lutes plus ou moins sophistiqués.
Ceux pour qui l’amnésie fonctionne mal ou qui n’arrivent pas à créer une armure souffrent davantage, ils ressentent toutes la détresse des autres anges, beaucoup deviennent tristes, une tristesse profonde qui éteint leur joie naturelle. Les plus chanceux ceux qui tombent dans un environnement harmonieux où ils peuvent exprimer leur joie, sont moins touché, ils arrivent à préserver leur essence et essayent de rappeler aux autres leur véritable nature.
Inlassablement, des vagues d’anges descendent, de plus en plus restent conscient, moins touchées par la folie, transformant la combinaison pour la rendre plus perméable à leur nature. Bientôt l’amnésie disparaîtra et la combinaison deviendra une extension de leur corps originel. Bientôt très bientôt, tous les anges se reconnaitrons enfin, mettant fin ainsi à cette expérience, pour en commencer une autre pleine de promesse.
Christophe ITIER

Nous sommes dans la matrice

Sans nous en apercevoir nous vivons dans une matrice et tout comme dans la matrice du film Matrix nous vivons d’une manière inconsciente comme des robots programmés tout en pensant être libre. Cette matrice est la dimension dans laquelle nous vivons que l’on appelle aussi 3D falsifié.
A l’intérieur de cette matrice, nos pensées et la plupart de nos émotions et ressentis sont des programmes qui nous obligent à nous comporter d’une certaine manière, toujours a partir d une vision de séparation. Cette matrice est à la fois mentale, énergétique, physique.

Nos corps (physique, éthérique astral et mental) comportent un grand nombre d’implants qui agissent sur notre pensée notre énergie nos émotions nos sens, transformant ainsi notre perception de la réalité. Ces implants agissent comme des limitateurs qui comme le nom l’indique limitent la quantité et la qualité d’information que nous recevons de la conscience unitaire /source
Ces implants ne sont pas « naturel »,ils sont implanté dans les différents corps comme des couches de conscience limités.

La première couche c’est l’esprit planétaire ou l’inconscient, il fait le lien entre l’ensemble de l’espèce humaine individuelle, c’est cette couche qui permet à chacun de voir ce que tout le monde voit, sentir ce que tout le monde sent, savoir ce que tout le monde sait. C est aussi par lui que les sens psychiques (télépathie, clairvoyance etc. etc.) Fonctionnent.
Il est le moyen idéal pour unifier une espèce dans la séparation. En fait, c’est la façon dont nous nous sentons en unification, par l’inconscient. Le système de l’inconscient est à l’intérieur de tout le monde. C’est comme un domaine de l’information ou tout le monde peut accéder. Il peut affecter ou infecter tout le monde. Une idée de révélation peut être transmise à un petit nombre de personnes, mais s’il manque une influence suffisante pour générer l’éveil de la masse, l’esprit inconscient reste en inertie

« La seconde couche de la conscience est la mémoire génétique, ou subconscient, dans le cas de Sigmund Freud. Elle fait le lien entre l’individu et l’arbre de la famille ou de la génétique. C’est là que les lignées sont exprimées.

« Et puis il ya l’esprit conscient. Il s’agit de la perception individuelle unique et l’expression de ce que la plupart d’entre nous appelons notre personnalité, le caractère, il est construit sur cette couche.
« L’esprit conscient de l’individu est fortement influencé par l’esprit génétique, en particulier entre la naissance et l’âge de sept a huit ans.
Mais toutes ces couches font partie de la matrice, et bien que l’inconscient ressemble à la conscience universelle il n’en est qu’un pâle reflet.

La conscience universelle représente la source de toute chose, elle est le lien, la force unificatrice de tous les univers existant, sa présence en nous n’est pas l’âme qui est la mémoire de l’individu qui se perpétue de vie en vie, ce n’est pas non plus l’inconscient qui est l’esprit universel des humains, c’est l’étincelle de vie à l’intérieur du cœur énergétique
Cette essence de vie est souveraine et solidaire. Elle est le JE SUIS, NOUS SOMMES. Personne n’est au dessus, ni se trouve dessous. Nul n’est mieux, personne n’est moins.

Quand on est connecté à son cœur on se sent un, non divisé. Quand le mental est au service du cœur nous percevons le monde comme l’unité divisé en une multitude de choses et d’êtres, il n’y a pas de séparation juste une complémentarité
Quand le mental est coupé du cœur et identifié au corps, il réside que dans la conscience individuelle, il agit alors comme un système de survie prés à défendre le corps par tous les moyens, la personnalité vit alors dans la peur, qui est l’expression du mental déconnecté.

La matrice dans laquelle nous vivons est une expression de ce mental-là c’est un système qui nous coupe de notre cœur de notre sentiment d’unités
Les personnes dans la matrice ne sont pas coupables de leur acte car elles sont programmées, la seule manière de sortir de la matrice de s’en défaire est de se reconnecter à son cœur à travers toutes choses qui peuvent nous donner un sentiment d’unité et d’y rester, de percevoir l’action du mental séparateur qui juge et divise et de le faire taire, dans le silence mental tout s’unifie

Le mental déconnecté du cœur = la matrice = la programmation

Le mental connecté au cœur = la conscience illuminée = l’éveil= l’unité dans la dualité

La souffrance apparaît lorsque l’on m’éloigne de son unité intérieure et extérieure, elle apparaît aussi lorsque l’on refuse la réalité qui se présente à nous.
La plupart des personnes dès leurs jeunes âgés ont créé une armure d’insensibilité pour ne pas souffrir, ne pas voir ce qui se présente à eux qui les dérangent, en faisant cela elles s’enferment dans une sorte de mort, elles deviennent des morts-vivants, cette position confortable au début va devenir invivable par la suite, la souffrance de ne plus sentir la vie, en être coupé va causer un grand nombre de maladie et les amener alors a lâcher prise s’ils veulent vivre. La maladie est le signe que la vie ne circule pas bien à l’intérieur du corps

Le sentiment de séparation et le refus de la séparation crée de la souffrance, crée l’armure /l’armure nous coupe de notre cœur, notre sensibilité/une souffrance plus élevée peut casser l’armure/lâchée prise, accueil de la souffrance, paix intérieure, ouverture du cœur

La souffrance est un moteur d’évolution dans le sens ou elle nous permet de prendre conscience que la réalité extérieure ou intérieure n’est pas en accord avec notre sentiment d’unité, manger ce qui n’est pas approprié à notre corps nous fait souffrir, dire, faire, entendre des choses qui ne reflètent pas notre sentiment d’unité nous fait souffrir
Cette souffrance nous montre que ce que nous faisons est inadéquat, elle nous invite, nous pousse à faire cesser ce qui la provoque et retrouver l’unité

La souffrance est nécessaire aux personnes endormies programmées

Le deuxième mécanisme d’évolution est l’amour, c’est l’expression de l’unité, son action rappelle aux endormies qui ils sont. Quand ces derniers résistent à l’amour ils soufrent
Pour sortir de la matrice nous devons ;
1- Vivre dans le moment présent
2- Exprimer autour de nous et en nous les vertus de l’unité, qui sont : La gratitude, la compassion, l’humilité, le discernement, le courage, la joie, le pardon, le don de soi, l’intégrité

Mélange d extrait du: 5eme entretien du docteur néruda et de travaux personnel

RÉFLEXION SUR L’OMBRE
Pour moi l’ombre/ ténèbres (a vous de voir) est lié à l’identification, des que nous sommes identifié à quelques chose nous créons de l’ombre. C’est comme si une particule de lumière dans un rayon de lumière changeait sa fréquence, se densifiait en se prenant pour quelque chose, de ce fait sa densité empêche le rayons de passer et crée une ombre. Sur ce principe identification/objet/densification = ombre/ ténèbres (selon les définitions) donc nous ne pouvons avoir une identité sans ombre. Sans ombre la conscience disparait

Christophe ITIER

le jugement

Le jugement est une abomination, il provient de l’ego de l’inconscience, de l’ignorance, de la colère que nous avons en nous pour avoir été jugé.

Qui sommes-nous pour juger, pour nous juger, nous connaissons si peu de l’autre, nous jugeons constamment sans même nous en apercevoir le comportement des personnes que nous croisons sur notre route, nous jugeons juste à partir de quelques éléments, sans savoir ce que la personne a vécu, a subi, à souffert pour se comporter de la sorte.

Nous avons l’orgueil de croire que nous détenons la vérité que notre manière de voir, qui est souvent la manière de voir de la culture dans laquelle nous vivons est la vérité, la bonne manière, quelle arrogance !

Nous sommes remplies de croyances qui nous disent comment voir les choses, comment les évaluer, ce qui est bien ou mal.

Que savons-nous de ce qui est bien ou mal? et que veulent dire ces notions-là?

L’enfer est pavé de bonnes intentions, avez-vous vraiment réfléchi à cette parole ? qu’est qui est bien, se lever tous les matins a 7h pour aller travailler et gagner sa vie , ou rester au lit, feignanter, travailler juste pour pouvoir se nourrir?

Qu’es ce qui est bien, fumé et boire du matin au soir ou vivre d’une manière saine?

La réponse est simple, il n’y a rien de mal à adopter l un ou l autre comportement, tout dépend de ce que vous voulez faire, si je veux voir passer le temps , profiter de chaque instand, rêver, ce qui est le plus approprier est de rester au lit le matin et de travailler peu.

En fait la seule question à se poser est, qu’est-ce que je veux expérimenter?

Si je veux me détruire à petit feu, ce qui est approprié? C’est de fumer et de boire du matin au soir et pas vivre d’une manière saine, il n’y a pas de bien et de mal juste des choses approprier ou pas selon ce que l’on veux vivre.

Le problème est que nos sociétés, nos parents, nos ancêtres qui ont construit les sociétés où nous naissons, ont déjà établi où ils voulaient aller, ce qu’ils voulaient obtenir comme résultat, ce qu’ils voulaient expérimenter.

Ils ont décrété que pour eux c’était ça qui était approprié, donc ce qui était bien.

A partir de là tous ceux qui par la suite n’eurent pas les mêmes objectifs furent considérés comme de mauvaises personnes, qu’il fallait rééduquer.

Entendons-nous bien je ne dis pas qu’il faut laisser tout faire, si une première personne veut en tuer une autre , il est légitime que la seconde se défende, comprenons simplement que le tueur a une vision de la vie et de son respect différente de la seconde, de ce fait pour lui tuer quelqu’un n’est pas un acte mauvais, c’est un moyen d’exprimer sa colère ou de défendre son territoire qu’il pense menacé, son niveau de conscience ne lui donne pas accès a l’empathie, devons-nous le juger pour autant, c’est-à-dire le limiter l’enfermer à ce seul aspect de son être

Il y a une grande différence entre juger et discerner.

Le jugement appartient à l’ego, au mental inférieur, aux émotions, aux croyances, le second a l’intelligence, la sagesse, au soi.

Un de notre plus grand malheur vient du fait que nous sommes constamment en train de nous juger, certains plus que d’autre, de ce fait nous sommes rarement en paix et fiers de nous, tout notre esprit est focalisé sur un point à atteindre, un futur hypothétique ou nous aurons enfin acquis tous les comportements reconnus par nos pairs comme étant bien, pour pouvoir nous aimer vraiment et nous sentir accepter, les perfectionnistes connaissent bien cela.

Tout ceci et une immense illusion qui nous tient loin de nous, loin de notre amour pour nous, de notre intégrité, nous sommes dans un monde où tous les possibles existent ou nous avons tous les choix, ou nous avons le libre arbitre, ce qui sous entend qu’un choix quel qu il soit n’est pas meilleur qu’un autre dans l’absolu, il ne l’est que par rapport à notre objectif présent ou à venir.

Juger quelqu’un c est un peu comme dire à son enfant, tu peux jouer à ce que tu veux, puis lui reprocher par la suite de ne pas avoir choisi ce que nous aurions choisie nous-même, quelle liberté y a-t-il là-dedans ,il faut être clair, nous ne pouvons pas dire à quelqu’un fait ce que tu veux puis le lui reprocher, c’est un comportement skizophrene, pourtant c’est ce que nous faisons tous a chaque fois que nous jugeons .

La difficulté de ne pas juger survient surtout quand nous vivons ensemble, déjà dans un couple, il faut que nous ayons en gros les mêmes objectifs et vision de la vie sinon ça ne marche pas ,avec les enfants c’est plus problématique car nous ne connaissons pas a l’avance le caractère de l’enfant, ni les trois quarts du temps ses besoins véritables, peu de personnes se donnent la peine d’étudier la psychologie enfantine avant de faire un bébé, ce qui est entre nous fort dommage et éviterait bien des souffrances.

L’éducation d un enfant va consister à lui transmettre nos croyances, notre manière de percevoir la vie, toutes résistances à cet endoctrinement, (car c’en est un) va se traduire chez l’enfant, a travers les jugements qu’il reçoit, par la construction d’une mauvaise image de soi, la sensation qu il n est pas vraiment aimé, qu’il n est pas digne, image qui l’accompagnera et l’empoisonnera toute sa vie.

La question est, y a-t-il une autre solution, pouvons-nous communiquer entre nous sans émettre un seul jugement ?

J’affirme que la chose est possible bien que ça demande beaucoup de temps pour enlever nos vieux programmes, cela nécessite après une profonde réflexion sur ce sujet de porter une grande attention à nos schémas de pensée qui se traduise à travers notre langage.

Ne plus dire, tu es idiot d avoir dit cela tu te rends compte de ce que tu as dit!

Mais plutôt, je pense que si ton objectif était de la froisser tu as été parfait!

Ne plus dire, c’est pas bien d avoir cassé ce vase tu es méchant !

Mais plutôt, je voie que tu es en colère mais dans cette maison tu ne peux pas casser les choses qui ne t appartiennent pas sans en subir les conséquences, exprime ta colère en tapant dans un coussin si tu veux.

Pour terminer je résumerais ce texte par la phrase suivante:

Tout n a de sens que celui que l on y donne.
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